Un bâtiment d’habitations collectif est le plus souvent géré par un syndicat de copropriété, ou un bailleur social selon le cas.
Le premier a pour mission d’administrer l’immeuble, assurer sa conservation, sa garde, son entretien, et en cas d’urgence, faire exécuter les travaux nécessaires (art. 18 de la loi du 10 juillet 1965), au nom des propriétaires. Le second intervient quant à lui sur la gestion et l’entretien de logements sociaux, sur ses fonds propres. Il bénéficie le plus souvent d’une aide fiscale.
Aujourd’hui, les préoccupations […]
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Un bâtiment d’habitations collectif est le plus souvent géré par un syndicat de copropriété, ou un bailleur social selon le cas.
Le premier a pour mission d’administrer l’immeuble, assurer sa conservation, sa garde, son entretien, et en cas d’urgence, faire exécuter les travaux nécessaires (art. 18 de la loi du 10 juillet 1965), au nom des propriétaires. Le second intervient quant à lui sur la gestion et l’entretien de logements sociaux, sur ses fonds propres. Il bénéficie le plus souvent d’une aide fiscale.
Aujourd’hui, les préoccupations des locataires et propriétaires portent essentiellement sur la qualité de l’habitat, et sur les aspects énergétiques de celui-ci. Les fortes pressions exercées pour inciter à la rénovation et à la sobriété multiplient les projets de travaux et d’entretien des parties communes. Mais loin d’être simple, de nombreux enjeux sont à questionner avant de se lancer. Parmi ceux-ci :
L’ensemble de ces aspects est encadré et fait l’objet de contrats de maintenance. Certains sont d’ailleurs obligatoires, notamment concernant le chauffage collectif, la conformité des accès (portes, portails), la sécurité incendie et l’entretien des ascenseurs.
La loi ELAN du 23 novembre 2018 impacte fortement la maintenance des logements sociaux. En effet, si elle incite les organismes HLM à se regrouper pour rationaliser la gestion des habitations, ceux-ci doivent par ailleurs supporter la compensation des loyers liée à la diminution des APL (Aide Personnalisée au Logement).
La loi ELAN pousse par ailleurs les syndicats de copropriété à la professionnalisation. En effet, elle les oblige à davantage de transparence dans les actions d’entretien […]
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La loi ELAN du 23 novembre 2018 impacte fortement la maintenance des logements sociaux. En effet, si elle incite les organismes HLM à se regrouper pour rationaliser la gestion des habitations, ceux-ci doivent par ailleurs supporter la compensation des loyers liée à la diminution des APL (Aide Personnalisée au Logement).
La loi ELAN pousse par ailleurs les syndicats de copropriété à la professionnalisation. En effet, elle les oblige à davantage de transparence dans les actions d’entretien et de travaux menées.
De plus, pour répondre aux besoins d’entretien et assurer le bon fonctionnement des habitats collectifs, les sociétés de services se structurent et se professionnalisent elles aussi. En se regroupant et en mutualisant les prestations, elles sont ainsi en mesure de proposer des offres à la fois multiservices et multitechniques (plomberie, électricité, VMC, peinture, …).
Avec la multiplicité des missions à effectuer dans le cadre de l’entretien et de la rénovation de l’habitat collectif, les contrats d’entretien forfaitaires sont le plus souvent privilégiés. En effet, ils permettent au gestionnaire de bénéficier d’une prestation multitechnique tout en optimisant son temps et son argent !
Ces contrats permettent d’organiser l’entretien préventif et l’entretien correctif des installations et équipements de l’habitat collectif. Ces prestations s’appuient notamment sur la norme FD P 05-101.
Avec la multiplicité des missions à effectuer dans le cadre de l’entretien et de la rénovation de l’habitat collectif, les contrats d’entretien forfaitaires sont le plus souvent privilégiés. En effet, ils permettent au gestionnaire de bénéficier d’une prestation multitechnique tout en optimisant son temps et son argent !
Ces contrats permettent d’organiser l’entretien préventif et l’entretien correctif des installations et équipements de l’habitat collectif. Ces prestations s’appuient notamment sur la norme FD P 05-101.
Ainsi, afin d’organiser l’ensemble des travaux et de coordonner l’ensemble des travaux et prestataires, les gestionnaires s’équipent d’outils de gestion d’interventions. Parmi ceux-ci, Praxedo accompagne l’ensemble des problématiques du secteur. Ce logiciel de gestion d’interventions permet notamment de gagner en temps et en qualité de service grâce à :